Le Service national de protection des frontières a déclaré que les informations sur le sabotage par le personnel militaire du service à la frontière étaient fausses.
«Le matin du 6 mars, les gardes-frontières azerbaïdjanais en direction du village de Djafarli, dans la région de Gazakh, ont été soumis à des tirs intenses de mitrailleuses de gros calibre et de fusils de précision par des unités des forces armées arméniennes situées non des villages de Sevkar et de Sarigouyoug de la région d'Idjévan, de l'Arménie. Les forces armées azerbaïdjanaises ont riposté», a indiqué le Service.